L’agriculture couvre de nombreux secteurs et métiers. La France occupe la première place de la production agricole dans l’Union européenne. C’est un domaine où les technologies de pointe émergent, qui offre de nom­breuses opportunités puisque l’agriculture représente environ un million d’emplois en France. L’exploitant agricole est aujourd’hui à la fois producteur, acheteur, manager, ven­deur, commercial.
De nouveaux métiers de services apparaissent : conseil, commerciali­sation, environnement, qualité, informatique, promotion, communication, recherche... Le besoin en salariés compétents est croissant et des opportunités existent pour devenir chef d’entreprise.

Dans le domaine de l’aménagement paysager, il existe deux grandes familles de métiers : la première concerne la conception de jardins et d’espaces verts, la seconde la réalisation de travaux et d’aménagements paysagers. Le paysagiste est un professionnel polyvalent : il a des connaissances en horticulture, en histoire des jardins, en techniques de construction et d’adduction d’eau et en VRD (voirie et réseaux divers).
Les métiers liés à l’environnement regroupent plusieurs grandes familles autour de l’aménagement et protection de la nature. Mais si les formations en gestion des espaces naturels et en aménage­ment du cadre de vie rassemblent plus de la moitié des étudiants en environnement, ces emplois ne représentent que 3 % du secteur, d’où l’importance de découvrir les autres métiers de l’environnement (gestion de la forêt, animation nature) et de développer la pluriactivité. Par exemple, les entreprises du secteur du paysage ont un réel savoir-faire en matière de génie écologique et de génie végé­tal et sont intéressées par les compétences de personnes formées avec une sensibilité envi­ronnementale. Les travaux d’aménagement et d’entretien permettent de restaurer les habitats naturels et d’y préserver ou d’y renforcer la biodiversité.

On peut venir au cheval un peu par hasard, on n’y reste pas sans une vraie passion ! Moniteur d’équitation, cavalier d’entraî­nement, groom, éleveur ou accompagnateur de tourisme équestre: exercer un des métiers de la filière équine nécessite une disponibi­lité certaine et un investissement total. Si les contraintes horaires existent, c’est aussi, en revanche, la possibilité de vivre sa passion au quotidien.
De palefrenier à vétérinaire équin, en pas­sant par maréchal-ferrant, on estime à plus de 100 le nombre de métiers exercés dans la filière équine. Mais, à eux seuls, une dizaine de ces métiers représentent 85 % des emplois du secteur.
Sur le podium : palefrenier-soi­gneur, moniteur d’équitation et cavalier d’entraînement.

Le secteur de la vente est un secteur dynamique exigeant et accessible à tous niveaux de formation. Le com­merce occupe une part croissante de l’emploi régional : développement des grandes surfaces, des supermarchés discount, des centres d’appel... Des opportunités existent également dans la création ou reprise de commerces de proximité, notamment avec le développement des circuits courts.
Les entreprises de la vente et de la dis­tribution recherchent des profils adaptés aux nouvelles formes de commerce. Les profils débutants, issus de formations axées sur la relation client ou le e-commerce, sont donc particulièrement appréciés des employeurs. Dans la grande distribution, les recrutements se font dès le CAP.

S’il y a bien un secteur qui recrute, c’est celui de la restauration. Serveurs, commis de cuisine, ou encore chefs de rang…
Des métiers variés et la possibilité de faire évoluer sa carrière après quelques années d’expérience. Saisissez votre chance !
Coiffé d’une toque et vêtu de sa veste blanche, le cuisinier réalise les plats qui seront servis aux convives. Créatif et imaginatif, il élabore le menu et conçoit les recettes. Il joue sur la présentation des plats, l’alliance des saveurs et des arômes, qui feront écarquiller les yeux des clients et régaler leurs papilles.
En véritable professionnel de terrain, le responsable de salle assure le fonctionnement du restaurant au niveau de l’accueil de la clientèle et de sa gestion (bon déroulement des repas).

L’activité consiste à préparer le matériel vendu, former les utilisateurs à sa prise en main et assurer le service après-vente, soit à l’atelier, soit sur le terrain, chez le client.
La maintenance optimale des matériels est garantie par la disponibilité d’un personnel très qualifié. Ainsi, la profession agit en faveur du niveau de compétences de ses salariés, qui doivent maîtriser des technologies très complexes. S’ils doivent être polyvalents, les mécaniciens sont aussi amenés à se spécialiser en fonction de l’évolution technologique.
Le machinisme contribue activement au développement de la productivité et des rendements de l’agriculture : l’adaptation aux besoins du marché n’est possible que grâce à l’évolution constante des matériels et des services associés.
Les entreprises recrutent, pour les métiers techniques, 1500 collaborateurs tous les ans sur des postes de mécanicien de maintenance, à l’atelier ou en clientèle ; sur de l’entretien à long terme ou des interventions d’urgence.

En pleine mutation et en pleine explosion, les services aux personnes sont aujourd’hui accessibles partout sur le territoire.
Le secteur des services aux personnes vit de multiples changements et doit faire face à une évolution impor­tante. Garder des enfants, aider les personnes âgées ou dépendantes, encadrer des équipes mobiles, accompagner les ménages au quotidien... Les métiers des services aux personne se développent à grande vitesse et sont créateurs d’emplois.
Les services aux personnes couvrent le domaine social, paramédical ainsi que les services d’aide à domicile, en structure, en milieu scolaire. Environ 1,4 millions de personnes en France travaillent dans ce secteur (à domicile ou au sein de structures spécialisées, publiques, associatives ou pri­vées). Les particuliers et les organismes agréés (associations, entreprises, établissements publics...) sont les principaux employeurs.
Les services aux entreprises et aux territoires se déve­loppent fortement au travers de formations intégrant des fonctions d’animation, de management et de développement.
Dans tous ces domaines, les MFR développent un accompagnement pour que l’ensemble de ces métiers s’exercent dans le contexte des territoires ruraux.

Le métier premier du monde viticole est sans conteste celui de viticulteur. Le viticulteur est la personne qui cultive la vigne. De nos jours, le métier de viticulteur exige de maîtriser toutes les étapes viticoles, de la culture de la vigne à la vinification du raisin. En effet, le viticulteur gère tout le processus de fabrication du vin.
Ce métier viticole demande une grande polyvalence, un goût prononcé pour la recherche des saveurs, de la rigueur mais aussi des qualités commerciales, dans le cas où le viticulteur gère lui-même la distribution de ses vins. professionnel et de commerçant.

Les MFR du Grand Est vous forment dans le domaine de la viticulture et de l'oenologie.